En ce moment quand je ne (fais pas) joue(r), le salon est empli des harmonies des morceaux que travaille tranquillement Raphaël (le PIANISTE NOMADE que j’avais déjà reçu une semaine il y a 25 ans à Péaule quand je n’avais pas de piano avec moi et que je m’étais résolue à emprunter un clavier électrique. Il avait alors découvert qu’il pouvait jouer au casque pour « ne pas me déranger » : erreur !)
Cette fois il a un piano à cordes et joue volontiers pour les gens qui passent, qu’on se le dise !
Il suffit de venir écouter devant la fenêtre ou frapper au carreau pour qu’il vous ouvre (car il n’entendra pas forcément la clochette à la porte). Je ne serai pas tout le temps là, il jouera d’autant plus (jusqu’à ce que je lui demande de partir, et il refera du stop, avec ses 50 kg de partitions, vers une destination inconnue ; il espère tomber chez quelqu’un avec piano, mais il accepte avec gratitude tous types d’hébergements)